lundi, janvier 31

Emménagement, Plage à Limbe, et départ de mon prédécesseur

Et voilà, Il est parti… C’est vraiment très bizarre, j’arrive presque à me sentir « responsable » de son départ – même si c’est pas le cas. Voir les gens tristes de le voir partir, l’avoir vu « dégoûté » à l’aéroport, le voir partir d’un coup sans se retourner, ce n’est pas évident.
Mais auparavant, la journée s’est déroulée ainsi : J’ai d’abord commencé par me lever – logique – vers 9h00, j’ai un peu traîné, et j’ai raté le petit déjeuner à l’hôtel. J’ai ensuite préparer mes affaires, pour le déménagement, quitter l’hôtel, et suis arrivé à mon nouveau grand studio, où m’attendait mon prédécesseur. Ses bagages sont presque prêtes, il a 70kgs, soit environ trente en trop, mais il va « magouiller » car il va se faire enregistrer par une connaissance qui lui a dit qu’elle ne lui ferait rien payer. Cependant, malgré ça, il doit me laisser quelques affaires, que je lui ramènerais quand je rentrerai en février.
Ensuite, vers 11h, on part direction la plage de Limbe. On y arriver vers 13h, la route étant « indescriptible » l’enchaînement des paysages, et des « surprises » comme un pont effondré, et pas réparé, à coté duquel on en a construit un autre sommaire… La plage est une plage « au pied » du Mont Cameroun, de sable volcanique, c'est-à-dire, noir. On y fait un petit barbecue, et on se baigne. Je joue avec « un nouvel ami » VI au foot avec des Camerounais. ET là, je remarque que c’est difficile de faire la différence entre mes adversaires et mes partenaires.
Ensuite, on commence à rentrer, vers 17h. Arrivé à Bali – mon nouveau quartier – vers 18h30. Je me pose dans mon appart, reçois un appel de mes parents qui m’informe d’un courrier de ma banque, et donc, de « mauvaises nouvelles », puis je sors avec les autres, prendre un dernier repas avec mon prédécesseur, dans la Rue de la Joy. J’y mange avec les doigts un gros poissons, c’est assez bon, ma foi… Puis ensuite, on accompagne mon prédécesseur à l’aéroport, avec quelques uns… Je rentre… Ca y est, je suis « chez moi », et mon prédécesseur dans l’avion… Bizarres sensations qui se mélangent…

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