samedi, septembre 25

c'est fini

Certes depuis Juin, je n'ai pas beaucoup parlé...
Mais que c'est-il réellement passé d'important (pour moi, bien entendu) depuis juin ? Pas grand chose... La fin du stage, en aout, avec les galères pour rendre le rapport de stage... Puis, récemment (mercredi et hier) les derniers examens de mon diplome, qui, a fortiori, sont pour le moment les derniers examens de ma vie étudiante... Pt'et que je remettrai ça si ça me manque trop bientot (je parle des études) mais pour l'instant, ce n'est pas au programme.
Donc voilà.
La vie étudiante s'arrète là.
Ca fait super bizarre. Si au moins je savais que j'allais commencer un travail bientot... Mais là, rien... Les recherches débutées en mai n'ont rien donné pour le moment, donc, je me trouve pour la première fois sans rien avoir à faire, après avoir fini une année d'étude. Je pourrais me dire "Punaise, c'est trop bien, je peux faire de la console et du net toute la journée, sans avoir mauvaise conscience" mais en fait, cette pu*$µù% de conscience, malgré tout, elle traine dans les parages, et me fais dire "et l'argent, il va venir tout seul ???" ou encore "Ta chambre, tu la ranges quand ??? Comment tu peux vivre dans un tel bordel ???" (On passera sur la chambre, pour l'instant, j'ai vraiment trop la flemme de la ranger, alors je cohabite avec le désordre... C'est ma marque de fabrique, en plus... Et puis de toutes façons, si je range, 5 min après, c'est déjà le désordre, alors... Et puis, j'aurai toujours des excuses pour ne pas la ranger, cette maudite chambre !!!)
Donc, rien à faire... Ou plutôt, je dois faire des recherches etc.. pour trouver un job, avoir des sous, etc... Mais là encore, pas vraiment envie de chercher.
Ne pas croire que je fais une déprime post-diplome - que je n'ai pas encore, je ne sais pas quand j'aurai les résultats - c'est juste que j'aimerais bien me "poser" un peu... Mais le problème avec la paresse, c'est que lorsqu'elle est installée, on la dégage pas facilement...
Cette fin d'études donne un peu l'impression de se réveiller avec une sorte de gueule de bois... Genre, un samedi soir passé avec ses potes, on se réveille le dimanche et on doit aller chez beau papa et belle maman - non ce n'est pas du vécu, et ça risque pas de m'arriver... C'est juste un cliché... - et pas forcément envie d'y aller...
Bref, tout ça pour dire :
Ca y est, je suis chômeur.

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