Vendredi midi, je suis donc d'abord retourné travailler en "tenue très décontractée" - tenue mise pour le voyage - avec mon sac à dos. Ca faisait vraiment touriste. Après midi légèrement écourté, on quitte le travail vers 17h, on arrive à la gare Centrale Voyage vers 17h15, on prend les billets (3600 CFA l'aller simple). On y retrouve des personnes croisées la veille au consulat - et après - qui avait raté leur bus précédent - parce que malgré avoir pris les billets avant, ceux-ci s'étant pointés trop tard (10 min avant le départ du bus) leurs places avaient été revendues... On monte dans le bus, composé de deux rangées de banquettes, une de 3 place, et une autre de deux. Le confort est assez sommaire, mais "ça va"... Le bus part presque à l'heure (vers 17h45)...
A la tombée de la nuit, le chauffeur se met à accélérer comme un malade, et roule à tombeaux ouverts... Les dépassements sont toujours limites, etc. La panique commence à gagner quelques passagers dans le fond du bus (où on se trouve) "Il faut que le chauffeur ralentisse!!! Ce sont des vies humaines qu'on transporte, hein! " ce qui déclenche une petite polémique à l'arrière du bus, entre ceux qui veulent que le chauffeur continue de rouler à son allure, et ceux qui veulent qu'il ralentisse. Malgré les bruits, le chauffeur lui est resté impassible, et n'a pas ralenti.
On fait donc quasiment tout la route de nuit, pour arriver sur les coups de 21h à Yaoundé.
Pour le retour, on se dit qu'on prendra le bus "Prestige", pour etre assis plus comfortablement...
Notre collègue vient nous chercher, on passe à l'hotel se changer, et on sort diner, puis en boite.
A la tombée de la nuit, le chauffeur se met à accélérer comme un malade, et roule à tombeaux ouverts... Les dépassements sont toujours limites, etc. La panique commence à gagner quelques passagers dans le fond du bus (où on se trouve) "Il faut que le chauffeur ralentisse!!! Ce sont des vies humaines qu'on transporte, hein! " ce qui déclenche une petite polémique à l'arrière du bus, entre ceux qui veulent que le chauffeur continue de rouler à son allure, et ceux qui veulent qu'il ralentisse. Malgré les bruits, le chauffeur lui est resté impassible, et n'a pas ralenti.
On fait donc quasiment tout la route de nuit, pour arriver sur les coups de 21h à Yaoundé.
Pour le retour, on se dit qu'on prendra le bus "Prestige", pour etre assis plus comfortablement...
Notre collègue vient nous chercher, on passe à l'hotel se changer, et on sort diner, puis en boite.
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